à ma soeur Marie-Josée
douleur d’âme indécise incisive
habitat d’âme infranchi incrusté
bagatelles si bad
bagarres de bagans
billards baignades
le soleil inonde les prés
embrayages enivrés
présent surcomposé
dévoile déroule détrousse
son visage son cou ses tresses
dénude déverse désarme
ses seins ses épaules son dos
son ventre ses cuisses ses fesses
déplie déploie déplore
ses ailes
ses images rétiniennes vibraient transparentes, miroirs d’iris
elle ne reculait ni ne s’ajournait devant ôcun littoral, ôcune fraction
d’édifices, de façades et de facettes de rotors
ses invasions prudentes me devançaient inquisitrices, psychés d’irone
elle, si tendre délaissée, si souvent fâchée, se maquillait, puis se berçait