oizo vivace vorace je parcours
de l’oeil, du bec et sans blâme l’épars
toponyme de leurs ombres nitrofiles
oizo rêveur je décris une spirale
sur l’éternité de leurs corps fébriles
com de frêles falanges olo fleuries
je torsade persuade le carrelage
de leur chair mandore mégafone
je rôde sarabande à l’amarante
la masure mâchure de leurs membres
leur murmurer quelques
paroles d’amour appropriées
leur balbutier toute
la folle angoisse du monde
com un plantureux micromètre plaqué
plat, turbopompe d’aplomb
au zénith des omoplates trapèzes
(cernes, langues errées)
un plasma sec, un pur intellect
qu’à l’envers des températures
leurs jupes interétages propulsent
un actionneur asidérite qui se farde
de rimmel dénivelé
tel un cône d’entraînement