à Pierre Robert
la nuit devient
inexprimable
nie
argumente
de l’âpre désir
onirie
(sitôt que s’abreuvent les fermions
tiges océanes par brutal refroidissement
(eurent) par trempe ultra rapide
(d’accroître (feuilles migrées))
à l’interface, certes
par éradication des terres sous-jacentes)
un banc de sable progresse indubitable
s’oublie (l’houle, s’ départ)
dans un crépuscule oblong (écoute astrale)
un virage démesuré où l’hyperbuse abole