deux lutteuses brunes et ciné sexy
souriaient sur écrans monorails poupées de satin
arquées les jambes relevées les fesse rebondies
soyeusement vendues à la psykose promotionnelle
des riches légèretés
focus permanent du mécanisme à travers l’air
rien d’ôtre au clair matin cosmopolite
des issues dénoncées
fenêtres intelligentes des corps prisonniers
vers l’aisselle poésie longtemps ruminée
la tête prise au scénario
du rêve ébahi et des fantômes fléchés ramassés sur elles
lutteuses encor terminales lentement se démaquillaient
puis saisies d’esprit s’éclipsaient com la lune