je dois aller voir quelqu’un avant de rentrer à la maison, je sais qui dans le rêve, m’en souviens jamais au réveil. le problème c’est que je suis dans un coin de la ville, souvent un port, éloigné de ma destination, c’est un long périple et je suis à pied,
je marche promptement,
je pense aux flos que mon retard inquiétera, j’essaie de les appeler de mon téléphone ou d’un téléphone public, mais je n’arrive pas à me rappeler le numéro, j’essaierai à nouveau plus tard, j’espère que ce quelqu’un que je dois rencontrer ne me retiendra pas trop longtemps,
(comme dans d’autres rêves je n’arrive pas à entrer mon mot de passe sur mon ordinateur ou une succession de bureaux que je ferme les uns après les autres m’empêche d’accéder au mien)
l’itinéraire varie d’un rêve à l’autre, les lieux se ressemblent en désordre,
je suis déjà passé par ici, j’ai déjà sillonné les rues de ce quartier résidentiel, j’ai déjà parcouru le labyrinthe délabré de ces ruelles, parfois j’entre dans une maison par en avant, en ressors par en arrière et continue mon chemin d’une cour à l’autre, d’autres fois je pénètre dans un immeuble, longe les couloirs, gravis les escaliers, accède au toit par une trappe ou par une fenêtre, me disant que je devrais trouver une autre voie d’accès la prochaine fois, et du toit contemple la distance qu’il me reste à parcourir et examine l’échelle, l’escalier ou la pente d’un toit voisin que je dois emprunter pour redescendre, d’autres fois encor je traverse un pont routier qui n’en finit plus d’enjamber avenues, entrepôts, terrains vagues,
je ralentis mon pas de temps en temps, même fais halte pour me reposer un brin parce que les jambes me font mal, quelquefois je croise des gens sans me rappeler au réveil qui, si je les connais, si on s’est parlé, de quoi,
et toujours la pensée des flos me préoccupe et jamais je n’arrive à destination,
ce navire dans la vidéo, j’en suis le capitaine
Enya, Orinoco Flow
au moins tu fais de l’exercice dans tes rêves !
sans faire de la psy chose truc de pacotille car les rêves sont très personnels
je dirais que tu cours après quelque chose et les aléas rencontrés t’empêchent d’avancer , peut être que les obstacles sont trop nombreux en ce moment , et que les choses t’échappent .
Enya comme figure de proue …
ouais, faut dire que les derniers mois se sont révélés fertiles en « surprises » santé, pis y a Charlotte sur quoi je pioche avec l’impression de tourner en rond, j’en parlerai dans ma prochaine entrée