ah! voilà le poète qui gigue de peur! film
qui sautille et qui aime à crédit surfondu
qui se prolifère en implacables créatures inventées représenté
et qui évoque, parfois, la sublimation atone
des enfants meurtris arrachés turbulence
aux franges mammaires, puis enterrés à la remorque
au bord des descriptions cryosculptées d’échines
au ciel! au ciel! émoi
sinon sec com un roseau! diligent
que d’eau! que d’eau! fontaine
hauts plateaux naguère oasis! impondérable
poli, le poète reconduit d’où s’ébauche
le transplant digital, le simili teknocrate la fin du jour
et la vulve abusive plus qu’à son tour expansive lubies d’ UV
vers la friable indifférence des orgies et où finissent
à l’alerte des clitoris luxuriants les affamés
lié qu’il est à une contredanse enfouie profonde remuants
un compromis de morts qui grafigne applique
les libertés tronquées, les espoirs d’excitations
de vies neuves, les passions déroulées d’office galeries
com un bras ostentatoire que les régions calfatent héros démentelé
com des bras d’enfants hystérics d’étiquettes au bilan sombre
le biocrate de l’insupportable naufrage devant le visiflex
indélébile élastic éperdument préhistoric de tritons
exige des comptes sur l’installation des réels déjà brûlés